Les rêves égarés

Les rêves égarés.     La nuit me couvrait de son plaid de solitude, assez pour ne pas prendre froid dans ma lassitude. Je scrutais mélancolique, la vieille patraque qui marquait son fidèle pas dans le salon. La vieille dame grinçait de tout son rhumatisme infligé par le temps. J’écoutais, dépité, la distance qu’elle érigeaitLire la suite « Les rêves égarés »